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Les livres voyageurs

18e rapt – James Patterson

L’exploration des boîtes à livres continue ! « Je pose, je prends » est ma nouvelle devise. Pourquoi ce livre ? Premièrement, il était imposant et pour ainsi dire presque neuf. Deuxièmement, le nom de l’auteur me disait vaguement quelque chose. En effet, j’avais vu deux films adaptés de ses romans : Le Masque de l’araignée et Le Collectionneur avec Morgan Freeman. La 4ème de couv est ICI.

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Des profs qui disparaissent, est-ce pour cela également que j’ai pris ce livre, mystère… Aux USA, les profs semblent aussi être mal payés. En effet, les trois enseignantes avaient chacune une activité secondaire différente qu’il ne fallait pas ébruiter. Elles ont malheureusement croisé le chemin de Slobodan Petrovic – présumé mort – coupable, avec son armée en Ex-Yougoslavie, d’avoir tué de nombreux civils, torturé et violé de nombreuses femmes. L’une d’elles a miraculeusement survécu et se retrouve de nouveau nez à nez avec son bourreau. Des pratiques ignobles vont apparaitre au grand jour. Que font-ils donc avec des shurikens ? Un passage du livre m’a fait penser au film The Hunt, pour ceux qui connaissent. Lindsay et Joe ont réussi à mener à bien cette enquête palpitante et parfois inquiétante. Et moi, j’ai réussi à dévorer ce gros pavé.

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Et soudain tout change Gilles Legardinier

Lors d’un parcours vitaboucle, à Geispolsheim, nous sommes tombés sur cette grande boîte à livres. J’ai eu l’agréable surprise de retrouver un petit chat malicieux sur la couverture d’un roman. Cette fois, il n’était pas rouge mais jaune ! Chouette, un second Gilles Legardinier. Je ne lis même pas la 4ème de couv et je l’embarque.

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C’est la dernière année du lycée pour Camille et sa bande de copains. Un roman qui donne l’impression de se replonger dans ses propres années lycée. J’étais un peu perplexe en démarrant ce second roman de Gilles Legardinier. Une histoire qui raconte la vie de lycéens… ouaip, ouaip… est-ce qu’il va se passer quelque chose ? La réponse est OUI ! Un événement troublant et perturbant qui va modifier la vie de ces jeunes. Le livre prend alors une autre dimension. Il est également intéressant de suivre les cours de M. Rossi qui cite souvent Akshan Palany, un curieux économiste indien…

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Un secret – Philippe Grimbert

Un livre pas très épais, avec de nombreux post-it, a attiré mon attention. En première de couverture, Patrick Bruel, Cécile de France et Ludivine Sagnier. Ah, il y a eu une adaptation cinématographique ! Je lis la 4ème de couv et je découvre qu’il parle de l’Holocauste, d’un jeune qui s’est inventé un frère, d’un secret lourd à porter et d’une histoire tragique. Je l’embarque et une fois chez moi, j’apprends que N°1 l’a étudié en classe et que nous possédons déjà un exemplaire.

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J’avoue qu’habituellement, ce type d’histoire n’est pas vraiment ma tasse de thé. Je me suis laissé happer par cette histoire de frère « invisible » et je voulais en savoir plus. Je n’ai pas été déçu de ce voyage troublant où il était difficile de survivre quand votre nom se terminait pas -sky, – thal ou – stein. Il fallait fuir l’ennemi tout en affrontant des problèmes familiaux et en préservant le benjamin de la famille, qui apprendra la vérité bien plus tard. J’ai compris pourquoi il était difficile d’affronter Sim, cette peluche râpée aux petits yeux noirs. La 4ème de couv est ICI.

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Vous connaissez ces auteurs ?

Vous avez lu ces livres ?

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Sophie Ellis-Bextor au Bataclan

28 février 2023, je découvrais la Cigale et retrouvais Sophie Ellis-Bextor. C’était le concert où j’avais le plus le « sensatiomètre » au maximum. J’étais situé en hauteur et assis.

5 mars 2024, je découvre le Bataclan (avec une certaine émotion) et je retrouve encore Sophie Ellis-Bextor. Le concert a lieu pendant mes vacances scolaires, je peux donc m’organiser pour être au bon moment dans la file d’attente et me retrouver devant la scène, à quelques mètres et parfois quelques décimètres de la chanteuse anglaise.

Mais que fait donc Sophie Ellis-Bextor avec cette roue ? C’est la « Wheel Spin » ! Elle tourne la roue et chante le titre indiqué par la flèche. Nous avons eu droit à « All night long » de Lionel Richie et à « Take me home« , une de mes chansons préférées, ouf !

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Deux changements de tenue pendant le concert, la robe à frou-frou et la tenue à paillettes. Une seule chanson assise, c’était pour « Young Blood« , qui parle des joies de vieillir avec son conjoint.

Waouh, waouh et encore waouh ! En regardant mes photos et vidéos, je réalise que j’étais vraiment bien placé et que j’en ai énormément profité.

Elle parle toujours autant avec le public, le fait toujours autant participer et vibrer, c’était intense d’être aussi près avec une telle ambiance.

Je vais vous laisser savourer la vidéo avec « Take me home« , « Get over you » et « Murder on the Dancefloor« .

C’était magique !

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Projet 52-2024 #11 – Magique

Voilà qui est Magique ! Quand, au bureau, deux collègues mettent la même robe le même jour 😉 Et c’est une troisième collègue qui avait remarqué notre « gémellité » vestimentaire qui nous a prises en photo !

Vous aviez déjà vu cette robe (celle en noir et blanc) en détail pour un autre projet de Ma’ : thème Texture. La voici donc en entier ! Ma collègue a demandé la même robe, en coloris bleus ❤ (elle adore le bleu)

Ces deux merveilles sont l’œuvre de Béatrice – notre camarade de jeu alsacienne du Projet de Ma’ – et de ses aiguilles, merci à elle pour ces deux créations 😉

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Les participations des camarades du Projet de Ma’ sont accessibles par là dans les commentaires 🙂 Et ci-dessous, voici les thèmes de l’année 2024 :

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Vitaboucle(s) – 28 – 17 – 12

J’ai fait un peu de ménage numérique dans mes photos car je n’avais bientôt plus d’espace de stockage sur mon téléphone. Voici donc (rapidement) trois vitaboucle(s) qui ont été dépoussiérées :

Geispolsheim village – n°28 – 8,7 km

Dans Geispolsheim village, nous avons découvert une belle et grande boîte à livres et trouvé un second roman de Gilles Legardinier. Beaucoup de champs, verdure et petits chemins à travers le village, nous avons fait une chouette promenade.

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Lampertheim – n°17 – 9 km

Lampertheim dans la brume et sans les gorilles, mais avec des ânes ! Une virée très bucolique où le brouillard s’est doucement dissipé pour nous laisser admirer différents paysages champêtres.

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Schiltigheim – n°12 – 10 km

Schiltigheim et ses brasseries ! Un petit coucou à Stork avec une mosaïque en forme de cigogne. Du beau street art à différents endroits de la ville. De la zénitude en longeant le canal. Un combo tram et cathédrale pas évident à faire. Une vitaboucle très instructive et très variée.

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Les autres parcours vitaboucle se trouvent ICI.

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Virée mosellane

Je fais souvent, pour des raisons familiales, un aller-retour en Moselle, la même journée. J’en profite parfois (souvent) par faire un détour au centre Pompidou-Metz, un lieu que j’apprécie beaucoup.

La dernière exposition en date parle de Jacques Lacan, psychiatre et psychanalyste français. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Je commence la visite et, ravi, je découvre une vidéo avec Les Ménines, de Velázquez. Sauf que Lacan perçoit un «objet secret» dans la robe de l’Infante : une fente… Je continue ma visite et me trouve nez à nez avec L’Origine du Monde, de Gustave Courbet, ainsi que de nombreuses adaptations de ce tableau. En poursuivant mon chemin, je découvre une quantité artistique de foufounes et de quéquettes.

Magritte est présent avec Le Faux Miroir et La Condition Humaine. Je croise également des Chats d’Alain Séchas, des Extases féminines et une femme entravée. Pris par le temps, j’arrive à me poser seulement quelques minutes afin que mon reflet se fasse psychanalyser… J’espère revenir et avoir plus de temps pour m’attarder dans cette exposition et mieux la découvrir.

Sur le chemin du retour, j’en profite pour découvrir le Musée Georges de La Tour, à Vic-sur-Seille. J’ai toujours été intrigué par son éclairage et ses jeux de lumière. Il y avait deux tableaux originaux, Saint Jean-Baptiste dans le Désert et Profil de Femme. Les autres sont « D’après Georges de La Tour ». J’ai apprécié Sapho ou la Poésie Lyrique, d’Alphonse Osbert. J’ai également découvert Jean-Paul Laurens.

Et pour finir, avant de rentrer chez à la maison, un rapide petit tour de Vic-sur-Seille. Avec de belles bâtisses à découvrir comme la porte et les remparts du Château des Evêques, l’Hôtel de la Monnaie, l’Église Saint-Marien, la Seille et un magnifique sequoia.

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Projet 52-2024 #9 – Naturel

Naturel ! Voilà un mot (ou adjectif) qui me plaît beaucoup 🙂 A bas le chimique, à bas l’artifice ! Revenons aux choses simples !

Dans notre département (le Bas-Rhin), il existe plusieurs forêts primaires (appelées aussi forêts naturelles), dont celle de la Robertsau-La Wantzenau. Située aux portes de Strasbourg côté nord-nord-est, elle occupe environ 710 hectares. Le Rhin n’est pas loin, et c’est là, entre autres, que le fleuve débordait allègrement.

Cette grande étendue forestière, laissée à l’état sauvage, abrite une faune et une végétation exceptionnelles et préservées.

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Les participations des camarades du Projet de Ma’ sont accessibles par là dans les commentaires 🙂 Et ci-dessous, voici les thèmes de l’année 2024 :

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La femme du Ve

Une nouvelle boîte à livres, celle d’Oberschaeffolsheim, pour un roman très surprenant de Douglas Kennedy, La femme du Ve. Ce village alsacien est doté d’une grande boîte à livres et il faut bien prendre son temps pour lire les différentes tranches des livres.

4ème de couverture

Jeté hors de chez lui par sa femme, loin de sa fille et renvoyé de son poste de professeur d’université, Harry Ricks n’a plus grand-chose à perdre. Réfugié à Paris, ses seules perspectives sont d’aller au cinéma et de tenir le plus longtemps possible avec ses maigres économies. Sans le sou, il découvre bientôt, lui l’intellectuel américain, une ville sordide, celle des marchands de sommeil, des clandestins et des combines louches. Aussi, quand il rencontre Margit, femme élégante et sensuelle, il plonge avec délice dans le jeu de séduction dont elle édicte les étranges règles. Un jeu troublant, plein de plaisirs, de mystères, et, ce qu’Harry ignore encore, de dangers…

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En faisant ma recherche sur Internet pour trouver la 4ème de couverture, je découvre qu’il en existe une autre, plus longue et qui donne plus d’informations sur le roman. J’avoue être content de la version courte car elle suscite plus d’intérêts.

Depuis la découverte des boîtes à livres, je pense que ce roman, La femme du Ve, est un véritable coup de cœur. J’avais ce livre dans ma PAL depuis la mi-novembre et je ne l’ai lu que mi-janvier. Il faut dire que quand je dépose un livre, je regarde toujours s’il n’y en a pas d’autres qui pourraient m’intéresser. Ensuite, quand je lis, j’essaye de varier les styles.

Pourquoi est-ce mon coup de cœur du moment ? Une femme, Margit, va permettre à Harry de sortir du fond de cet abîme d’une manière à laquelle vous n’auriez jamais pensée. Quand un livre vous plait, vous lisez les pages avec enthousiasme et vous vous arrêtez à un chapitre pour mieux pouvoir le reprendre et ne rien perdre de l’histoire quand elle est très prenante. Vous avancez, vous avancez en vous demandant ce qu’il va lui arriver. Vous tournez les pages et soudainement, vous restez scotché devant le roman, vous êtes perdu, comme Harry l’a été quand il a appris certaines choses. Comme lui, vous cherchez à comprendre ce qui se passe et surtout, comment est-ce possible…

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Livre déposé à Mommenheim

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Vous connaissez cet auteur ?

Vous avez lu ce livre ?

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Vitaboucle – Fegersheim

Direction Fegersheim pour la Vitaboucle n°41, longue de 8,1 km. Cette commune se situe au sud de la grande couronne de Strasbourg. Belle découverte avec la Chapelle et la fontaine Saint-Ulrich situées dans un endroit très bucolique.

Nous avons assisté à la confluence de l’Andlau avec l’Ill. Toujours sympathique de découvrir de tels endroits verdoyants près de chez nous.

Faire une Vitaboucle, c’est faire le touriste près de chez soi. C’est vraiment une belle initiative. Une autre église sur notre chemin, celle de Saint-Amand d’Ohnheim.

Et pour finir, l’Église Saint-Maurice avec un ciel d’un bleu différent en fonction de l’endroit de la prise de la photo. En bonus, une belle trainée d’avion s’est invitée sur les photos.

Retrouvez le parcours complet en cliquant sur le logo de cette vitaboucle.

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Les autres parcours vitaboucle se trouvent ICI.

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Casse-Noisette

Par une soirée humide de février, je me suis rendu à cette étrange soucoupe orange et lumineuse. Je n’avais pas remis les pieds dans cette salle depuis octobre 2013 ! C’était pour la tournée Timeless 2013 de Mylène Farmer.

Je m’installe à ma place et contemple ce mystérieux rideau ainsi que les instruments de l’orchestre. Quand « IL » a commencé, les musiciens ont joué mais le rideau ne s’est pas levé immédiatement. J’avoue que j’étais un peu perdu et perplexe sur la suite…

Casse-Noisette, je suis allé voir Casse-Noisette ! Pourquoi ? Une partie liée à l’enfance car j’ai des souvenirs d’un dessin animé vu plusieurs fois, une partie à la fameuse ritournelle et une dernière sans doute liée à Noël et certains téléfilms. Cela faisait déjà plusieurs fois que je parlais de découvrir Casse-Noisette, j’ai franchi le pas et j’y suis allé.

J’ai ADORÉ ! C’était une nouvelle expérience musicale pour moi. J’avais déjà testé un oratorio en 2018, avec Natalie Dessay. C’est magique, c’est lumineux, c’est musical, c’est vibrant, c’est féérique… Les adjectifs se bousculent ! Contrairement à un concert, les portables ne sont pas autorisés, vous êtes donc complètement en immersion avec ce magnifique spectacle. Immersion parfois perturbée par une mamie qui bouffait du pop-corn… À l’entracte, une bonne majorité du public s’est reconnectée pour reprendre une bouffée d’oxygène-numérique…

Photo prise à la fin du ballet, je vous laisse admirer un décor ainsi que les somptueux costumes. Je vous laisse chercher Masha, Drosselmeyer, Casse-Noisette et la Fée Dragée. J’espère un jour avoir l’occasion de revoir Casse-Noisette dans des conditions encore meilleures.